15/06/13

Hier, notre bivouac était à Vik, après un petit resto sympa- le Halldorskaffi- sur la plage sous une falaise remplie d'oiseaux.

Ce matin , après une vaine tentative d'accès à internet depuis un hôtel de Vik (le café y est excellent et moins cher que dans les stations service N1 où nous trouvons habituellement du Wifi), nous filons sur Dyrholaey, belle plage de sable noir,arches de pierre se découpant sur la mer,

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bien grise hélas, et piaillement des oiseaux. On se croirait dans une école maternelle à l'heure de la récré ! Beaucoup, beaucoup de touristes aussi. Mais comme d'habitude , il suffit de faire une centaine de mètres et on se retrouve presque seuls. En raison de la nidification (encore et toujours), nous ne pouvons nous approcher du bord des falaises. Le gris du ciel est un peu plus lumineux, il fera sûrement beau ce soir ?

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L'arrivée au phare

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au bout d'1/2 heure de grimpette nous offre la vue sur une plage de sable noir, vierge de tout passage, où il ferait bon se baigner, si la mer était chaude.

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La température extérieure ne compte pas beaucoup. Nous nous en sommes aperçu lors de nos trempettes dans des bains brûlants. C'est vrai qu'on se sent parfois un peu ridicule, d'être en maillot de bain, jambes nues, avec nos anoraks sur le dos pour regagner nos véhicules ; Vous n'imaginiez tout de même pas qu'il puisse y avoir des vestiaires ?

Au retour, quelques magnifiques photos de sternes arctiques qui n'apprécient pas que nous utilisions le parking ! Quelles flemmardes, d'avoir pondu leurs oeufs, juste en bordure. Yves se fait brosser les cheveux lors d'un piqué audacieux, et Gérard offre son crâne à leurs attaques. Pendant ce temps avec Betty, nous nous tordons de rire bien à l'abri, dans nos camions.

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Avides d'un peu de solitude, et d'espaces vierges, nous empruntons la piste F 222 pour nous rapprocher du Myrdalsjökull.

La piste est cassante, cahoteuse, brinquebalante. Nous sommes secoués un max. Au Tadjikistan, nous avons cassé une suspension, là, j'ai bien failli cassée une paire... de bretelles. Le brouillard se lève, et l'horizon tend à se rétrécir, tout est gris...Nous faisons demi-tour. Nous bivouaquerons au bord de la mer à Stokkseyri.

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