Marché aux dromadaires de GUELMIM

Du 23  mars au 24 mars

« GUELMIM surnommée la porte du désert a été un important centre commercial et caravanier. De ce passé elle a gardé cette vocation d'être une terre de rencontre et de mélanges entre différentes cultures nomades et sédentaires. Elle accueille l'un des plus grands marchés de dromadaires du Sahara. »

Pour nous, aller au marché aux dromadaires de Guelmim était une évidence. Les marchés aux bestiaux sont l'occasion de grands rassemblement tant humain qu'animaliers.Ce sont des lieux où l'on peut observer à loisir, les échanges commerciaux et leurs rituels.

Bien sûr, avec la disparitions des grandes caravanes, ce marché a sans doute perdu de sa superbe, mais il reste très vivant et animé !

Nous nous installons le vendredi en fin d'après-midi sur les parkings devant l'immense enclos cernés de hauts murs où se tient le marché. Déjà des camions de paille, de bestiaux, s'installent. Le portail du marché est fermé par une chaîne un peu lâche sous laquelle nous pouvons nous glisser.

Les dromadaires déambulent au calme au fond de l'enclos.

0471

0457

0395

0458

0505

0501

Dans cet enclos, un parc rassemble un troupeau de moutons qui passent entre les mains de « leurs coiffeur »…

0422

0526

0392

Accoté à l'enclos, un immense souk de fruits et légumes.

0489

et de boucheries.

0487

Le samedi matin, dès 5 H, camions, fourgonnettes, camionnettes , triporteurs (taxis colis) et charrettes à ânes envahissent l'espace,

0452

0397

et dès le petit jour, les tractations commencent,

0445

0433

0437

2018_03_24_Guelmim_marche_0451.jpg

Les dromadaires, moutons, chèvres et même vaches changent de propriétaires.

0465

0392

Un marché bruyant et coloré, l'occasion de faire de belles rencontres notamment celle de Ahmed, un sahraoui, avec qui nous bavardons longuement.

0474

0477

A 9h le matin, les plus importantes transactions ont été réalisées.


Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Fil des commentaires de ce billet